Le Maroc opte pour la société française Alstom dans le cadre du projet de train à grande vitesse reliant Kénitra à Marrakech

découvrez comment le maroc a choisi la société française alstom pour réaliser son projet ambitieux de train à grande vitesse reliant kénitra à marrakech, marquant une étape importante dans le développement des infrastructures ferroviaires du pays.

Le Maroc a choisi la société française Alstom pour fournir les trains de la nouvelle ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech. Ce contrat, d’une valeur estimée à 10 milliards d’euros, prévoit la livraison de 18 trains Avelia Horizon, un modèle à deux étages qui a été préféré à ceux proposés par d’autres entreprises comme CAF, Talgo et Hyundai Rotem. La décision intervient suite à la visite d’État du président français Emmanuel Macron au Maroc. Bien que le contrat ne soit pas encore signé, sa validation formelle est attendue après un délai de recours pour les autres soumissionnaires. Le Maroc espère que les trains seront opérationnels avant la Coupe du monde 2030 qu’il coorganisera avec le Portugal et l’Espagne.

Dans un mouvement stratégique en faveur de l’innovation et du développement infrastructurel, le Maroc a décidé de sélectionner la société française Alstom pour fournir des trains à grande vitesse sur la nouvelle ligne reliant Kénitra à Marrakech. Ce choix s’inscrit dans une série d’accords d’une valeur estimée à 10 milliards d’euros, établissant un partenariat renforcé entre le Maroc et la France.

La sélection d’Alstom : un choix stratégique

La décision d’attribuer le contrat à Alstom a été influencée par les caractéristiques techniques des trains Avelia Horizon, qui se distinguent par leur conception à deux étages, contrairement aux modèles proposés par d’autres concurrents comme CAF, Talgo et Hyundai Rotem, qui ne disposent que d’un étage. Ce choix s’aligne avec les besoins croissants du Maroc en matière de transport ferroviaire rapide et efficient.

Un projet d’envergure financière

Le contrat, d’une valeur de 10 milliards d’euros, fait partie des accords convenus lors de la visite d’État du président français Emmanuel Macron. Bien qu’il n’ait pas encore été signé, ce projet promet d’apporter un soutien financier significatif à l’économie marocaine, tout en renforçant les relations bilatérales entre les deux nations.

Anticipation de la mise en service des trains

Le Maroc espère que la mise en service des nouveaux trains s’effectuera avant la Coupe du monde 2030, qu’il organisera avec le Portugal et l’Espagne. Cela souligne l’urgence et l’importance de ce projet pour moderniser les infrastructures de transport et améliorer la connectivité à l’échelle nationale.

Le soutien français dans le financement

Historiquement, la France a joué un rôle clé dans le financement de projets ferroviaires au Maroc. En effet, elle a contribué à hauteur de 51% des coûts de construction de la première ligne à grande vitesse entre Tanger et Casablanca, inaugurée en 2018. Ce précédent renforce la confiance dans la réalisation du projet Kénitra-Marrakech.

Relations bilatérales et coopération future

La récente visite de Macron a également ouvert un nouveau chapitre dans les relations bilatérales entre le Maroc et la France, avec des discussions sur la coopération dans divers domaines, y compris les infrastructures ferroviaires et les énergies renouvelables. La déclaration signée par les deux pays met en avant un engagement mutuel fort, promettant un avenir de collaboration sur de grands projets.

En somme, le choix du Maroc de travailler avec Alstom pour le projet de train à grande vitesse Kénitra-Marrakech illustre non seulement sa volonté d’améliorer ses infrastructures, mais aussi de renforcer ses liens stratégiques avec la France, tout en optimisant le développement économique du pays.

Choix de la Société

Le Maroc a décidé de collaborer avec la société française Alstom pour la fourniture des trains de la nouvelle ligne à grande vitesse reliant Kénitra à Marrakech. Ce choix fait suite à une évaluation des propositions d’autres entreprises du secteur, notamment CAF, Talgo et Hyundai Rotem.

Proposition Privilégiée

Alstom a été désignée comme la proposition privilégiée par l’Office national des chemins de fer marocains (ONCF). La sélection d’Alstom repose sur la conception de son modèle à deux étages, le Avelia Horizon, qui se distingue des autres offres en présentant des trains à un seul étage.

Contractualisation et Financement

Le contrat pour la fourniture de 18 trains est évalué à environ 10 milliards d’euros, bien qu’il n’ait pas encore été officiellement signé. Ce projet fait partie d’un ensemble d’accords conclus lors de la visite d’État du président français Emmanuel Macron au Maroc.

Impact Financier

Il est prévu que la France contribue au financement de cette ligne, continuant ainsi son soutien historique pour les projets ferroviaires marocains. La France avait déjà investi 51% des coûts de la première ligne TGV reliant Tanger à Casablanca, inaugurée en 2018.

Objectifs des Projets Ferroviaires

Le gouvernement marocain espère que les trains seront en service avant la Coupe du monde 2030, que le Maroc accueillera en collaboration avec le Portugal et l’Espagne.

Amélioration de l’Expérience Passager

Les représentants d’Alstom mettent en avant les avantages des trains Avelia Horizon, soulignant leur compétitivité en termes de coût par siège et de cycle de vie. Par ailleurs, ces trains devraient considérablement améliorer l’expérience des passagers.

Relations Bilatérales

Ce projet ferroviaire s’inscrit dans un cadre plus large de coopération entre le Maroc et la France. Le ministre des Affaires étrangères marocain, Nasser Bourita, a déclaré que cette initiative marque l’ouverture d’un nouveau chapitre dans les relations bilatérales, avec un accent particulier sur l’amélioration des infrastructures.

Coopération Élargie

La déclaration signée lors de la visite de Macron évoque des domaines prioritaires tels que les énergies renouvelables et le développement des infrastructures ferroviaires. Une commission de contrôle sera chargée de veiller au respect des engagements pris par les deux pays.

découvrez comment le maroc a choisi la société française alstom pour réaliser son projet de train à grande vitesse, reliant kénitra à marrakech, marquant une avancée majeure dans le développement des infrastructures de transport du pays.

Le Maroc a décidé de faire confiance à la société française Alstom pour la fourniture de trains destinés à la ligne à grande vitesse (LGV) reliant Kénitra à Marrakech. Ce choix fait suite à une compétition face à d’autres entreprises de renom telles que CAF, Talgo et Hyundai Rotem, Alstom remportant finalement l’appel d’offres avec son modèle à deux étages, le Avelia Horizon.

Les détails du contrat

Le contrat prévu avec Alstom, dont la valeur est estimée à 10 milliards d’euros, fait partie des accords conclus lors de la récente visite d’État du président français Emmanuel Macron. Bien que le contrat n’ait pas encore été signé, il représente un pas important dans la coopération entre la France et le Maroc dans le secteur ferroviaire.

Le choix technologique d’Alstom

La décision d’opter pour les trains Avelia Horizon d’Alstom a été motivée par des avantages techniques. Contrairement aux autres propositions, les modèles d’Alstom sont à deux étages, ce qui offre une meilleure capacité de passagers et une expérience améliorée pour les utilisateurs. Les experts de l’ONCF (Office national des chemins de fer marocains) ont souligné que cette caractéristique a été déterminante dans le choix final.

Financement et soutien français

Comme pour la première ligne à grande vitesse entre Tanger et Casablanca, la France devrait apporter un soutien financier au projet entre Kénitra et Marrakech. Pour le projet antérieur, Paris avait contribué à hauteur de 51 % du coût total de 2 milliards d’euros.

Perspectives d’exploitation des trains

Les autorités marocaines espèrent que cette nouvelle ligne sera opérationnelle avant la Coupe du monde 2030, que le Maroc coorganisera avec le Portugal et l’Espagne. Ce projet devrait améliorer le réseau de transports et faciliter l’accès aux grandes villes marocaines.

Une coopération renforcée entre la France et le Maroc

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a affirmé que la visite de Macron a ouvert un nouveau chapitre dans les relations bilatérales. Lors de cette visite, une déclaration a été signée, soulignant les priorités de coopération, notamment dans le domaine des infrastructures ferroviaires et maritimes.

La déclaration prévoit la mise en œuvre de projets ambitieux, tels que le développement de la grande vitesse et initiatives autour de l’hydrogène vert, tout en affirmant la position commune des deux pays sur des enjeux régionaux importants, notamment le conflit du Sahara occidental.

Le Maroc a choisi la société française Alstom pour fournir des trains à grande vitesse pour la ligne reliant Kénitra à Marrakech. Cette décision fait partie d’un projet ambitieux, visant non seulement à moderniser le réseau ferroviaire marocain, mais aussi à renforcer les liens économiques et diplomatiques avec la France.

Détails du contrat avec Alstom

Le contrat avec Alstom concerne la fourniture de 18 trains Avelia Horizon et s’inscrit dans un budget estimé à 10 milliards d’euros. La sélection d’Alstom a fait suite à une évaluation où les trains à deux étages de cette société ont été jugés supérieurs aux offres à un seul étage de concurrents comme CAF, Talgo et Hyundai Rotem.

Contexte et implications économiques

Cette initiative s’inscrit dans le cadre de la visite d’État du président français Emmanuel Macron au Maroc, qui a abouti à la signature d’accords visant principalement l’amélioration des infrastructures ferroviaires et la coopération dans d’autres domaines clés, tels que les énergies renouvelables.

Financement du projet

Le projet bénéficiera d’un soutien financier de la France, qui avait précédemment investi dans la première ligne à grande vitesse entre Tanger et Casablanca. Ainsi, Paris avait couvert environ 51% des coûts de ce projet de 2 milliards d’euros, inauguré en 2018. Alstom, de son côté, possède également deux usines sur le territoire marocain, renforçant ainsi ses capacités d’intervention locale.

Perspective de mise en service

Le gouvernement marocain espère que la nouvelle ligne à grande vitesse sera opérationnelle avant la Coupe du Monde 2030, coorganisée avec le Portugal et l’Espagne. L’aboutissement du contrat dépendra des délais d’appel des autres soumissionnaires, après quoi un contrat formel sera signé.

Relations bilatérales renforcées

Le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a affirmé que ce partenariat avec Alstom marquait le début d’un « nouveau chapitre » dans les relations entre le Maroc et la France. Cela est particulièrement pertinent dans le contexte du soutien français au plan d’autonomie marocain concernant le conflit du Sahara occidental, où près de 20 des 27 membres de l’UE et plus de 112 pays dans le monde se prononcent en faveur de cette initiative.

découvrez comment le maroc a choisi la société française alstom pour développer un train à grande vitesse reliant kénitra à marrakech, un projet qui promet de transformer le transport ferroviaire dans le pays et d'améliorer la connectivité entre ses principales villes.

Détails du projet de train à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech

Aspects Détails
Fournisseur Alstom
Type de trains Avelia Horizon
Nombre de trains 18
Coût estimé du contrat 10 milliards d’euros
Financement Partiellement assuré par la France
À prévoir avant Coupe du monde 2030
Relations bilatérales Nouveau chapitre avec la France
Modèle de train À deux étages, avantages en capacité
Usines Alstom au Maroc Deux usines opérationnelles

Résumé du projet

Le Maroc a choisi la société française Alstom pour fournir les trains de la nouvelle ligne à grande vitesse (LGV) entre Kénitra et Marrakech. Ce projet, qui représente un investissement significatif, comprend l’achat de 18 trains de modèle Avelia Horizon. Le choix d’Alstom s’explique en partie par la capacité de ces trains à deux étages, offrant une expérience passagers améliorée par rapport aux modèles proposés par d’autres entreprises concurrentes. La France devrait également contribuer au financement de cette initiative, qui vise à renforcer les infrastructures ferroviaires du pays.

Renforcement de l’infrastructure ferroviaire

Ce projet s’inscrit dans une volonté plus large du Maroc de moderniser son réseau ferroviaire. L’achèvement de la ligne à grande vitesse entre Kénitra et Marrakech fait partie d’une série d’initiatives destinées à améliorer la connectivité du pays. Le succès de la première ligne TGV entre Tanger et Casablanca démontre le potentiel de ces technologies pour soutenir le développement économique.

Il est recommandé que le Maroc continue à investir dans la formation des ressources humaines et l’innovation technologique, en s’appuyant sur l’expertise d’Alstom pour former du personnel local. De plus, des partenariats avec d’autres entreprises du secteur ferroviaire pourraient être envisagés pour attirer davantage d’investissements.

Avantages pour les usagers

Les trains Avelia Horizon offriront des avantages notables aux usagers, tels qu’un confort supérieur et des temps de trajet réduits. L’adoption de trains à deux étages permettra d’augmenter la capacité passagère, un atout important à mesure que la demande pour les transports rapides augmente.

Il est essentiel de mener des campagnes d’information pour sensibiliser le public sur ces nouvelles possibilités de transport. Les autorités devraient également garantir que les prix restent abordables, afin de favoriser l’accès à un maximum d’usagers et de séduire de nouveaux clients.

Perspectives économiques et environnementales

Ce projet représente non seulement une avancée en matière de transport, mais également une opportunité de stimuler l’économie marocaine. L’initiative pourrait générer des milliers d’emplois, tant durant la construction que pour les opérations à long terme.

En matière d’environnement, le train à grande vitesse est une alternative de transport plus durable que l’automobile. Il est conseillé d’effectuer une étude d’impact environnemental pour évaluer les effets de la LGV sur les écosystèmes locaux et de mettre en œuvre des mesures pour réduire les émissions de carbone. L’intégration de technologies vertes, comme l’hydrogène, pourrait également être envisagée pour des projets futurs.

Collaboration franco-marocaine

Le choix d’Alstom comme fournisseur pour ce projet est le résultat d’un climat d’échanges renforcé entre le Maroc et la France. Le gouvernement marocain doit veiller à ce que cette coopération s’inscrive dans la durée, en établissant des cadres juridiques favorables et une vision partagée de développement.

Il serait judicieux de créer un suivi régulier entre les deux pays pour garantir l’avancée des projets, permettant ainsi d’ajuster les stratégies selon les enjeux rencontrés. Le soutien des autorités françaises dans le cadre du plan d’autonomie pour le Sahara occidental renforce également les liens bilatéraux, et il conviendrait d’exploiter cette dynamique pour d’autres projets d’infrastructure.

Proceed Booking